« Un air de jovialité et de gaîté joyeuse, importé de la littérature romanesque marocaine, depuis ses débuts à nos jours, a parcouru récemment les locaux du complexe culturel Lafkih Lamnouni, qui abritait une rencontre-hommage, portée sur l’essai de Mehdi Fouad, Rira bien qui lira la littérature marocaine (2022, Virgule Éditions), fruit d’un travail de longue haleine, sur deux procédés littéraires majeurs qui provoquent le rire chez le lecteur : l’humour et la satire. »
> La suite de cet article très intéressant sur les spécificités de la littérature marocaine sur Barlamane.